J – 50

Tout d’abord, hier, 25 mai 2013, c’était meeting future au pair été 2013 à Paris.

Meeting Au Pair (25 Mai, Paris) (4)

Lisa, Claude, Raphy, Lucile, Amandine, Marina, Marie et Moi-même

On s’est donc retrouvée à 10h à l’Opéra Bastille, puis direction le Starbucks, nan parce que quand même j’avais besoin de ma dose de caféine ! Pour habituer nos organismes à la nourriture américaine nous nous sommes dirigées au HD Diner pour déjeuner. Autant vous dire qu’on a bien rigoler. J’ai choqué la serveuse avec mes histoires de saucisse et on a bien profiter du repas, autres les traditionnels burgers, Carrot Cake (spécial dédicasse à Lisa), Donuts Profiterole et Sundaes étaient de la partie. Petite promenade digestive jusqu’au Jardin du Luxembourg avec une bonne petite douche à base de pluie.
Les non-parisiennes ont pu faire connaissance prématurément avec la Statue de la Liberté. Puis nous nous sommes séparées vers 17h. Une bonne journée en somme.

Sinon, comment on se sent à 50 jours du départ ? Harassée par la paperasse dont on ne voit pas le bout ! Reste à m’occuper de la LMDE, et de mon abonnement téléphonique, ainsi que du visa (mais temps que j’ai pas les formulaires, je peux pas faire grand chose). Sinon, on s’occupe aussi des cadeaux pour la Host Family. Bref, plein de chose à faire.

Moralement, c’est très différent. Malgré toutes les démarches à faire, réaliser que le départ approche c’est compliqué. On sait qu’on va partir, on est excitée à cette idée, on l’attend avec impatience, mais tant qu’on a pas le visa ni les billets d’avion ça reste très abstrait. En même temps, tout voyage est abstrait jusqu’à ce qu’on soit assis dans l’avion.
Il y a aussi les petits moments de nostalgie. Quand on fait certaines choses avec ses amis, où simplement en se promenant dans sa vie, le petit train train quotidien, on réalise que ce sont les dernières fois qu’on les fait. L’année prochaine sera consacrée à la nouveauté, les nouvelles rencontres, les nouvelles aventures. Et j’attends avec impatience ce moment, pourtant il reste malgré tout un petit pincement.

Une période un peu bizarre en somme.